Mooc mis en abymes
Personnellement, je me mets dès que possible en licence libre dès que je produis quoi que ce soit (la CC-BY-NC-SA pour être plus précis) en faisant apparaître de manière évidente le logo sur les supports créés. Outre que cela s’inscrit dans la ligne de conduite que je défends (le service public doit œuvrer pour tous, on doit mutualiser les savoirs, blablabla), c’est nettement plus simple d’utilisation. Pas besoin de me demander d’autorisation pour utiliser mes contenus (je reçois quelques mails malgré tout de temps en temps), et je n’ai pas à demander d’autorisation à qui que ce soit même si je partage la titularité des droits, tant que je n’en fais pas un usage commercial. Cela fait gagner un temps fou …
Ce témoignage est signé Mathieu Cisel, chef de projet du Mooc « Monter un MOOC de A à Z », alias Moocaz hébergé sur la plateforme FUN.
Comme tous les Mooc, il propose des vidéos sur tous les sujets traités dans le cours… incluant donc les questions de propriété intellectuelle du point de vue des formateurs… en faisant la part belle aux licences Creative Commons, licence sous laquelle sont publiés ces contenus de cours…
Les cours du Moocaz consacrés à la propriété intellectuelle sont pris en charge par Audrey Ego, et vous vous pouvez visualiser les vidéos sur l’article Mais à qui appartiennent les MOOC ?